Jusqu’au milieu du XVIIIe siècle, à Pontenx la population est répartie dans une quinzaine de quartiers autonomes avec cabaret et épicerie. On se déplace donc seulement pour l’église ou les affaires, en empruntant des raccourcis qui vont d’une borde à l’autre à travers la forêt. Le courrier circule entre Labouheyre et Mimizan par Pontenx par un piéton sur échasses jusqu’en1880-1890, après cette date, même nos bergers n’en ont plus besoin : nos landes sont assainies.